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De plus en plus de voix s’élèvent pour demander qu’on enlève les statues de Léopold II de l’espace public. Pourquoi ? Qu’a-t-il fait au Congo ? Et quel est le lien entre la colonisation et le racisme aujourd’hui ? Explications.
Analyse
Qui doit payer cette crise ? Les héroïnes et les héros du quotidien, ces travailleurs de la santé, de la distribution, de la Poste, etc. ou les très riches ? Alors que le PTB a lancé le débat ici en proposant une « Taxe Corona », cette question traverse le globe. Pour des économistes français, un impôt sur la fortune en temps de crise se justifie, et a déjà vu le jour.
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Des milliers de scientifiques du monde entier sont à la recherche de traitements contre le COVID-19. De leur côté, les grandes entreprises pharmaceutiques mettent tout en œuvre pour profiter au maximum la pandémie. Elles sont pourtant responsables du fait que ce traitement n’existe toujours pas.
Analyse
Les cinq dernières années, le groupe Lufthansa a réalisé 9 milliards d’euros de bénéfice, dont la majorité a été dans la poche des actionnaires, comme le milliardaire allemand Heinz Hermann Thiele. Mais, aujourd’hui que la compagnie aérienne a des problèmes, elle demande 290 millions d’euros d’aides publiques pour sauver Brussels Airlines. La collectivité devrait mettre la main à la poche pour satisfaire le porte-feuille des actionnaires. Ce modèle est dépassé, pour le PTB, qui plaide pour une compagnie aérienne publique.
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Discours de Peter Mertens, président du PTB, lors de la commémoration des 75 ans de la victoire sur le fascisme, 8 mai 2020, Breendonk.
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Discours de Peter Mertens, président du PTB, à l'occasion du 1er Mai 2020.
Analyse
La prévention doit être un aspect central de notre réponse sanitaire à la pandémie de coronavirus, tant pour enrayer la propagation du virus, que pour faire face aux conséquences sociales de la crise. Si de nombreux pays ne sont pas à la hauteur, c’est principalement la conséquence de l'organisation des soins de santé. Cela démontre l'importance d'un système de soins de santé public fort.
Analyse
On compare souvent la lutte contre la pandémie de coronavirus à une guerre. Nous sommes effectivement confrontés à un défi titanesque. Mais, pour monter au front, on a tout intérêt à être alerte, résistant et bien reposé plutôt que déjà à bout de forces. Notre système de santé occidental subit depuis des décennies des vagues de restrictions budgétaires et de privatisations. Notre économie était quant à elle déjà mal en point lorsqu’elle a été frappée de plein fouet par cette crise imprévue. Après celle de 2008, nous devons tirer de vraies conclusions de cette crise du coronavirus et opérer un changement de système radical. Il en va de notre santé, de notre avenir social et du climat.
Analyse
Le roi (européen) est nu. Après des années d'austérité, des systèmes de santé échouent lamentablement au stress test du coronavirus. Des centaines d'hôpitaux à travers le continent manquent de lits, de personnel, de respirateurs, de masques... Bref, de moyens, tout simplement. Les déclarations de soutien aux soignants héroïques ne suffiront pas. Il faut tout faire pour arrêter l'épidémie et reconstruire un système de santé digne de ce nom. Cela requiert des choix forts, au niveau européen.
Analyse
Ce jeudi 19 mars, l’Italie a dépassé la Chine en nombre de morts du coronavirus. C’est aussi le premier jour où aucune nouvelle infection n’a été détectée en Chine. D’autres pays d’Asie de l’Est comme le Japon, Singapour et la Corée du Sud ont aussi mieux pu gérer l’épidémie du coronavirus que plusieurs pays européens. Pourquoi ? Une analyse de Wim De Ceukelaire, médecin et directeur de l’ONG Viva Salud.
Analyse
Partout dans l’Union européenne, les gouvernements nationaux attaquent les systèmes les plus solidaires de pension. Une attaque coordonnée depuis les institutions européennes. Petit tour vers l’Espagne, la France et l’Allemagne.
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En avril 2017, le gouvernement croate publie un « programme de réforme des pensions » qui va augmenter l’âge de la retraite de 65 à 67 ans et durcir les conditions des départs anticipés. Ce programme reçoit l’accord du Parlement. Mais pas celui des travailleurs, qui obligent le gouvernement à reculer. Récit d’une victoire. (photo : Ivan Blazevic, responsable de la campagne dans la ville de Crikvenica. Photo D.R.)