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Un pot de choco. C’est ce qu’ont reçu les éboueurs de Bruges en récompense de leur travail cette dernière année. Un pot de choco.
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Une enquête menée par The People’s Vaccine Alliance* auprès de 77 épidémiologistes de 28 pays montre que deux tiers d’entre eux pensent qu’il nous reste au maximum un an avant que le coronavirus ne mute au point que la plupart des vaccins de première génération perdent leur efficacité et que nous ayons besoin de nouveaux vaccins. Nous avons donc besoin rapidement de plus de vaccins. En Europe, mais aussi dans le monde entier. Après tout, les variants ne connaissent pas de frontières.
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Avant-propos de l'édition anglaise de 'Ils nous ont oubliés' Avec cette version anglaise, 'Ils nous ont oubliés' existe désormais dans une cinquième langue (après le néerlandais, le français, l'allemand et l'espagnol). J’en suis extrêmement reconnaissant à Vijay Prashad et à LeftWord Books.
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Quel est le point commun entre la pénurie d’infirmiers et l’augmentation de nos factures d’électricité ? Ce sont des effets pervers des privatisations. Ces dernières décennies, des entreprises publiques ont été vendues au privé par nos gouvernements, avec des conséquences désastreuses. Partout dans le monde, des citoyens se mobilisent pour reprendre ces entreprises en main. Avec des victoires à la clé.
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Lumumba est un symbole de la lutte du peuple congolais pour l’indépendance. En Afrique, il est mis sur le même pied que tous les leaders majeurs de la lutte contre le colonialisme. Mais qui était Patrice Lumumba, et pourquoi faire vivre sa mémoire est-il si important ?
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En arrivant ici, j'ai croisé un ami d’enfance que je n'avais pas vu depuis un bail. Il est devenu livreur. Il sortait de sa camionnette, un paquet à la main. Il m'a dit : « Je suis épuisé. Je livre des colis Zalando, Amazon... Je suis sur la route toute la journée. Des petites heures jusqu'à tard le soir. Avec les heures supp’ qui ne sont pas payées. » Je lui ai demandé combien il gagnait avec ce boulot. « Même pas 1 400 euros ». Un salaire de misère. Comment peut-on laisser faire cela ?
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« Nous le savons depuis Adam Smith, mais ceci est un rappel fort : la concurrence, ça fonctionne, dans l'intérêt public. » Voilà la réaction de Johan Van Overtveldt, ancien ministre des Finances et aujourd’hui député européen N-VA (parti nationaliste flamand de droite), à l’annonce des vaccins contre le coronavirus de Pfizer-BioNTech et de Moderna. En faisant référence à l’économiste connu comme « le père du capitalisme », il signifie clairement que nous devons le développement des vaccins contre le Covid-19 au libre marché capitaliste et à la bienveillance des multinationales pharmaceutiques. Il y a au moins cinq raisons pour lesquelles il est complètement à côté de la plaque.
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En avril, la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, a fait une promesse inattendue, mais cruciale : le futur vaccin contre le Covid-19 serait un bien universel. Depuis lors, elle ne fait que rétropédaler. Une mauvaise nouvelle pour tous.
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Un nouveau vaccin, développé par l’américain Pfizer et l’allemand BioNTech, serait efficace à 90 %. Cela suscite, à juste titre, beaucoup d’espoir. Un tel vaccin serait d’une grande aide dans la lutte contre le coronavirus. La Commission européenne a immédiatement conclu un contrat coûteux avec l’entreprise. Pourtant, beaucoup de questions se posent. D’autant plus qu’il apparait maintenant que le PDG de Pfizer a vendu 62 % de ses actions le jour de l’annonce. S’agit-il surtout d’un coup de publicité pour faire monter le cours de l’action Pfizer ? Et le vaccin sera-t-il accessible ?
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« Ce n’est pas en manifestant avec un mégaphone à la main qu’on obtient l’augmentation des plus basses pensions », a déclaré le vice-Premier ministre du Parti socialiste (PS) Pierre-Yves Dermagne dans le journal financier De Tijd du 14 novembre dernier. L’homme est le chef de file gouvernemental du principal parti de gauche de la coalition Vivaldi (qui regroupe 4 grandes familles politiques, comme les 4 saisons : libéraux, sociaux-démocrates, chrétiens-démocrates et verts, NdlR) . Cette déclaration révèle, comme le reste de son interview, à la fois l’évolution du PS belge et sa différence fondamentale avec un parti marxiste comme le PTB.
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